"Sublime frequencies are captured and reproduced best in the analog domain, digital transients are simply that, trickery, holograms of sound, not containing elements of the earth, Iron, Magnetic energy, heavy metals, et al. Most of all though, is the workflow, as I sit and make records on tape, everything is harder, more interesting, more musical, more exciting, less complicated, less choices, more masterful, more tactile. This is what I enjoy, so this is why I use tape. It's verty difficult to maintain the machines, to procure the medium, but all of those things are worth iit in the end. What is dissapearing in the digital process is skill."
Jonathan Wilson (extrait en VO d'une interview parue en VF et petits bouts dans 3 Couleurs #95 et Chronic'art)
« C’est aux objets historiques que nous appliquions
plus haut la notion d’aura, mais, pour mieux l’éclairer, il faut envisager
l’aura d’un objet naturel. On pourrait la définir comme l’unique apparition d’un lointain, aussi proche soit-il. (...)
Cette description permet d’apercevoir aisément les conditionnements sociaux
auxquels est dû le déclin actuel de l’aura. Il tient à deux circonstances,
liées l’une et l’autre à l’importance croissante des masses dans la vie
actuelle. Car rendre les choses spatialement et humainement « plus
proches » de soi, c’est chez les masses d’aujourd’hui un désir tout aussi
passionné que leur tendance à déposséder tout phénomène de son unicité au moyen
d’une réception de sa reproduction. »
Walter Benjamin, L’œuvre
d’art à l’époque de sa reproductibilité technique
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